Présentation de Aiji Kimura

Nom & Prénom

Nom: Kimura

Prénom: Aiji

Âge : 25 ans
Étudiant ou professeur : Professeur de Français

Appartenance à un club d'hôtes? : Non

Sexe : Homme

Orientation sexuelle: Homosexuelle

Tendance sexuelle (dominant/dominé/ambivalent): dominant

Description

• Physique : Il est vraiment très grand, il fait plus de un mètre quatre-vingt. Il a des cheveux assez longs, qui lui arrive au niveau des épaules, ils les détachent souvent même si ça lui arrive de ne pas les laisser libres, ils sont bruns et lisses. Ces yeux sont en amandes, ils sont de couleurs marron tirant sur le vert. Il porte pour la plus part du temps des costars, ils n’apprécient pas le faite d’être mal habillé. Il aime porter aussi des costumes traditionnels mais seulement quand il est chez lui. Il porte toujours une montre et sa chaine autour du cou, elles lui ont été offertes par une personne qu’il affectionne tout particulièrement. Dans sa sacoche c’est souvent le bazar, on peut trouver de tout, mais il y a toujours un livre, ou au moins un journal. D’une carrure assez imposante il est musclé et entretient beaucoup sont corps même si il n’aime pas le sport. Il a un tatouage au niveau du dos, c’est du kanji, la phrase veut dire : le silence est le maitre de tes mots.
  
  
• Mentale : Il est souvent dans la lune et est extrêmement tête en l’air, il a une tendance à oublier tout, même les choses importantes. Sous ces airs un peu froids au premier abord, il sait être gentil et serviable, n’hésitant pas à aider les élèves en difficulté, quitte à donner des cours en plus. Il est têtu, parfois même un peu arrogant, il déteste d’ailleurs qu’on lui en fasse la remarque. Il déteste la moquerie, ayant été victime de cela enfant. Il peut être à la fois doux et gentil, voir trop et être aussi, profondément froid, cynique, colérique. Il peut changer d’humeur en une fraction de seconde, ce qui fait souvent rire ces amis d’enfances à ses dépens. En cours devant ces élèves, il donne plus souvent un air sombre, un peu tyrannique, loin d’être très agréable. Ce qui n’est pas le cas quand il aide les élèves qui n’arrivent pas comprendre, après les cours. Quand il est sous les ordres de son clan de Yakusa, il devient une autre personne, sans règles ni lois.
  
  
• Goûts : Il aime le café, mais très serré, les livres de toute sorte, enseigner, il n'aime pas les sucreries, il adore faire du cheval, de la natation, du tennis, de la lutte, du tir à l'arc et de l'escrime. Il aime bien se promener, il déteste quand il fait nuit, il ne supporte pas qu'on le fixe ou regarde bizarrement, qu'on le contre dise, il n'apprécie pas les gens stupides, et il hait le fait qu'il aime tout ce qui est mignon. Il aime son métier, qui n’était pas du gout de sa famille, descendant d’une famille de Yakusa l’enseignement est loin d’être un des métiers que l’on autorise. Il aime les fleurs, surtout voir les cerisiers fleuris. Il apprécie les étoiles, les feux d’artifice. Il adore voir ses amis, il les connait depuis qu’il a cinq ans. Même si il boit de l’alcool, il ne le supporte pas très bien, il n’aime pas la violence, même si dans sa famille c’est tout un art. Il sait pourtant se battre, se servir d’une arme.
  

Histoire

Le jour où il décréta à ses parents qu’il allaient rentrer dans l’enseignement, il fut obligé de partir de son clan, les Burenkin sont les Yakusa contrôlant le réseau de prostitution le plus développer dans les grandes villes, lui Aiji avait été nommé premier lieutenant par son cousin Kei, le chef de famille qui avait succédé à son oncle qui venait de mourir d’un cancer.

Kei était un individu assez réfléchi, même si il utilisait souvent ses poings au lieu de sa tête. C’est lui qui avait fait en sorte qu’Aiji ne soit pas banni du clan pour avoir tenté de s’éloigner de ces devoirs. Kei aidait toujours Aiji à s’en sortir, parce qu’il l’aimait bien, même parce qu’il avait une totale confiance en ce dernier, qui lui obéissait corps et âme. Et oui quand le chef de famille donne un ordre, même le premier lieutenant doit s’y plier peu importe, ce qu’on lui demande, peu importe son avis. Si on ne respectait pas les règles établis par les ancêtres, alors le grand conseil se réunirait pour déterminer la sentence qui incombe à donner à celui qui doit être puni. Dans ces moments-là, la phrase d’Aiji c’était l’infamie du monde qui te plie à ces désirs, fait de toi un être déloyal, sans peine ni larme.

Aiji avait déjà rempli des missions pour le compte de Kei c’est pourquoi il ne se faisait pas de soucis pour lui, Kei l’appelait une fois dans le moi pour résoudre un problème pas plus.
Mais ce jour-là était un autre jour, Aiji vit son téléphone vibré, et le nom de Kei apparu sur l’écran, surpris il ne décrocha pas à la première sonnerie. Kei avait une voix fatigué, un peu terne, il n’avait pas l’air comme d’habitude.

-Aiji, j’ai une affaire urgente à te confier, je t’envoie le dossier par fax, je ne voulais pas te déranger, mais là, il n’y a pas le choix.

-Quel est le mot d’ordre ?

-Aiji….tu ne changeras jamais…c’est une mission code noir, tu n’es pas obligé d’y répondre…je ferais en sorte que le conseil ne prononce aucune sentence à ton égard, Aiji c’est moi le chef. Tu sais que c’est dangereux de plus c’est ta première mission code noir, tu devrais…

-Maitre je me lis à la mission code noir.

-Mais Aiji….

Il coupa l’appel, une mission de cette ampleur, il se demandait pourquoi avait-on pu penser à lui donner, mais quand les papiers sortir du fax au bout d’une demi-heure, il finit par comprendre. Kei avait raison de vouloir le protéger, mais c’est le genre de mission qu’on ne se doit pas de refuser, peu importe si le chef vous le demandait.
Il se dirigea vers son armoire, l’ouvrit, puis fis de même avec le coffre qui était caché dedans, il rangea les papiers à côté de son arme et referma le tout. Puis il alla à son bureau, alluma une cigarette, et ce dis que la mission allait être longue. Il repensait au code d’honneur.

- Tu n'offenseras pas les bons citoyens, tu ne prendras pas la femme du voisin, tu ne voleras pas l'organisation, tu ne te drogueras pas, tu devras obéissance et respect à ton supérieur, tu accepteras de mourir pour le père ou de faire de la prison pour lui, tu ne devras parler du groupe à quiconque, en prison tu ne diras rien. Il n'est pas permis de tuer un katagari, personne ne faisant pas parti d’un groupe de Yakusa, cette dernière n’était pas toujours respecté, certains disait il doit toujours y avoir des dégâts collatéraux, sinon notre identité serait découverte.

Vous

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disponibilité : ça dépend
niveau de rp : faible
impression sur le forum : bien bien
Comment avez-vous découvert le forum?: double compte
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